Ce saint est considéré comme le premier évêque de Béziers. La première mention du sanctuaire abritant ses reliques nous vient du récit de deux moines de St Germain-des-Prés, en route pour l'Espagne et de passage à Béziers en 858. Pourtant, selon le "Bréviaire de Béziers", au XIVème et XVème siècle, il était présenté comme évêque et confesseur, mort paisiblement un 22 mars. C'est donc au XVIème siècle qu'une nouvelle mouture de la légende apparait et que sa décapitation, ainsi que celle de ses 3 disciples, est relatée. C'est à la même époque, et pour la première fois, qu'il est fait mention de son fidèle chameau. La date de son exécution est alors fixée au 28 avril alors que celle de la translation des reliques est fixée au 22 mars. Ses reliques ont longtemps été utilisées en procession afin de calmer les calamités "divines" telles la sécheresse ou les épidémies de peste.
Légende Amérindienne
comment Coyote apporta le feu
Roseaux indiscrets
Libéré de sa néfaste soif de l’or par le dieu Pan, Midas n’aime plus que les bois et les champs. Mais son esprit reste épais et lui vaudra encore des mésaventures.
Le chapeau de Sans- Âme
Il y avait autrefois à Entrepierres, pays rocailleux comme le nom l’indique, un paysan qui possédait si peu, si peu, que ce n’était vraiment pas la peine.
Une légende locale d'Orcival (Puy-de-Dôme) conte l'histoire de Jacquillou d'Orcival, dite aussi du Saut des Menettes. Jacquillou était jardinier et cabretaire (joueur de cabrette, sorte de cornemuse auvergnate). Réputé dans la région, il égayait les fêtes et les noces. Il lui arrivait souvent de rendre hommage à saint Verny, patron des vignerons et des buveurs. Les menettes, vieilles filles dévotes d'Orcival, lui en voulaient. l'une d'elles, entre autres, la mère renaude, ne le laissait jamais en paix. Un soir, le Jacquillou, qui avait diverti un repas de noces au Mont Dore, revint à Orcival, le cerveau embrumé par l'alcool. parvenu au pont de la Vinovre, il vit deux silhouettes noires lui barrer la route : c'étaient la Renaude et son amie Élise. Elles allaient à un pèlerinage et lui demandèrent de les accompagner. Il refusa et leur proposa de danser. Sitôt qu’elles eurent accepté, Jacquillou se sentit contraint de jouer de plus en plus vite et ne put plus détacher son instrument de ses lèvres. Elles l'entraînèrent au bord du précipice. Là, il trouva la force de faire un signe de croix. Les menettes disparurent aussitôt. Sans doute s'agissait-il d'une incarnation de messire Ropotou, le diable, et d'un des ses suppôts.
De l’œuf au chocolat
L’œuf symbole de vie et de renouveau s’est imposé avec le Christianisme comme l’objet emblématique de la résurrection. L’interdiction de manger des œufs durant le Carême provoquait une sorte de sur-stock d’œufs ! L’idée de s’échanger des œufs décorés étaient une façon de s’en débarrasser. En Russie ou Roumanie par exemple, la religion Orthodoxe pratique une tradition datant
Il était une fois un grand jardin, merveilleux, au milieu d’un royaume. Le Maître aimait à s’y promener quand la chaleur du jour devenait accablante. Il affectionnait tout particulièrement le bambou qui lui semblait l’arbre le plus beau de toutes les plantes de son jardin. Au fil des années, ce bambou grandissait, devenait vigoureux et toujours plus conscient de la faveur du Maître.