AUX PAYS DES CONTES ET DES LEGENDES

LEGENDES DE TOUT PAYS, LIVRES MES PASSIONS

posté le 14-02-2012 à 19:46:13

Légende de Saint Valentin

La légende de la Saint-Valentin !

Il était une fois, dans la ville de Terni, en Italie, un bon évêque qui avait pour nom Valentin. Malgré l'interdiction dont était frappé le christianisme par l'Empire Romain, notre évêque exerçait ouvertement son ministère et n'hésitait jamais à dépanner les personnes dans le besoin.

Un jour, l'Empereur apprit la chose et fou de rage, il le fit emprisonner. Valentin avait domestiqué un pigeon et celui-ci lui était fidèle comme un chien. Notre oiseau n'eut de cesse jusqu'à ce qu'il trouve la fenêtre de la cellule où était emprisonné l'évêque.

Chaque jour, il visitait son maître et lui apportait des pétales de violettes que Valentin façonnait en forme de coeur. Dans ces coeurs, il mettait des messages à l'intention de ses amis et il les attachait ensuite après son pigeon qui s'empressait d'aller leur porter.

C'est ainsi qu'est née l'expression "envoyer un Valentin".

Auteur inconnu

 

Brin de sagesse:

"En plus d'éclairer notre vie, l'amour possède aussi le don merveilleux d'illuminer celle de notre prochain."

JOYEUSE SAINT-VALENTIN !

Vivez si m'en croyez, n'attendez à demain.
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie.
(Pierre de Ronsard)

 


Commentaires

 

1. harfang  le 15-02-2012 à 10:49:21  (site)

moi je préfère fêter la saint Valentin tous les jours !
hihihihi
Je n'aime pas trop que l'on m'impose si ou ça surtout dans les questions d'amour !
Mais l'histoire de l'évêque est intéressante. Je l'avais lu quelque part aussi Clin doeil
bisous ma belle et merci de toutes ces infos. Dommage que mon grand père paternel n'existe plus car tous les jours il me demandait ce que j'avais appris de nouveau et avec tout ce que je lis chez toi j'aurai su quoi lui répondre !

2. harfang  le 17-02-2012 à 07:34:04  (site)

coucou toi, tu va bien ?
je suis un peu malade alors j'en profite pour rester coucher !
plein de bises

3. cuisinevincent  le 17-02-2012 à 21:39:15  (site)

Merci beaucoup pour la visite de mon blog merci beaucoup d'aimé les vidéo est merci beaucoup pour le commentaire est joli votre blog Sourire Clin doeil

4. harfang  le 20-02-2012 à 10:24:57  (site)

coucou,
bon début de semaine Clin doeil
bisous

5. harfang  le 22-02-2012 à 11:32:38  (site)

coucou
as-tu mangé des beignets puisqu'on en est aux traditions ?

 
 
 
posté le 11-02-2012 à 18:14:47

Les mouettes du lac salé

Les mouettes du lac salé

Cette histoire est réellement arrivée; il y a bien des années…


En ce temps là, les caravane de pionniers quittaient les côtes de l'Atlantique pour traverser le Mississippi et les grandes plaines de l'Amérique du Nord. Ils circulaient dans des chariots couverts, traînés par des chevaux, et, après bien des peines, parvenaient en haut des Montagnes Rocheuses et descendaient dans les vallées. Ils faisaient encore beaucoup de chemin et finissaient par arriver dans une grande vallée entourée de hautes montagnes. C'était une plaine de sable blanc, dans un pays où la pluie ne tombait presque jamais; mais les neiges éternelles, sur le haut des hautes montagnes, envoyaient de jolis et nombreux petits ruisseaux qui descendaient le long des pentes et venaient se jeter dans un beau lac bleu, au milieu de la plaine de sable, une petite mer intérieure, salée comme la grande mer.

C’est là que certains pionniers s'arrêtèrent ; au Lac Salé. Ils bâtirent des cabanes pour passer l'hiver. Ils avaient mis tant de mois pour faire ce terrible voyage que beaucoup d'entre eux étaient morts en cours de route, à cause du froid, de la fatigue, de la maladie; et une fois sur place, beaucoup d'autres moururent encore pendant l'hiver. Leurs provisions étaient presque épuisées, et leur vie dépendait de la récolte qui allait mûrir.

A force de courage et de travail, ils avaient rendu le pays fertile en faisant des canaux pour l'eau des ruisseaux - ce qu'on appelle irrigation et ils avaient semé du maïs, du blé et des légumes verts pour se nourrir, ainsi que leur bétail. A présent, ils attendaient…

Le printemps vint, et le blé poussa, le maïs poussa aussi, et tous les légumes. La terre brune de la plaine était couverte de petites tiges vertes et tendres, qui grossissaient à vue d’œil. La joie était dans tous le cœurs ; les pionniers étaient récompensés de tous leurs sacrifices. Une vie nouvelle et prospère s’ouvrait à eux quand soudain, une chose terrible arriva…

Un matin, les hommes qui veillaient à l'irrigation virent un grand nuage noir passer sur la colline et s'avancer vers la plaine. D'abord ils eurent peur que la grêle ne fasse périr leurs récoltes, mais ils entendirent bien vite un bruit dans l'air, comme un roulement, et quand le nuage fut plus près, ils virent que c'était des sauterelles! Elles s'abattirent sur les champs, et commencèrent à dévorer les plantes. Les hommes tentèrent de les tuer, mais, plus ils en tuaient, plus il en venait! Ils allumèrent des feux, creusèrent des fossés. Rien n'y faisait. De nouvelles armées de sauterelles arrivaient pour remplacer celles qui étaient détruites! Épuisés, malheureux, les gens tombèrent à genoux en pleurant et en criant, quelques-uns priant pour la délivrance.

Tout à coup, là-bas, dans le ciel, au-dessus du lac bleu, on entendit un bruit d'ailes et de petits cris sauvages. Le bruit devint plus fort, et les gens levèrent la tête. Etait-ce encore des sauterelles ? Non. C’était un bataillon de mouettes qui arrivait. Rapides, battant l'air de leurs ailes blanches, les mouettes arrivaient par centaines, par milliers.
- Les mouettes! les mouettes! crièrent les gens. Qu'est-ce que cela veut dire ?
Les mouettes planaient au-dessus de leurs têtes, avec de petits cris aigus, puis, tout d'un coup, comme un merveilleux nuage blanc, elles s'abattirent sur le sol.
- Malheur! Malheur ! crièrent les pauvres gens. Nous sommes perdus! Tout ce que les sauterelles ont laissé, les mouettes vont le manger!
Mais soudain, quelqu'un s'écria :
- Regardez ! Les mouettes mangent les sauterelles!
Et c'était bien vrai. Les mouettes dévoraient les sauterelles par milliers. Elles s'en gorgeaient jusqu'à n'en pouvoir plus, puis s'envolaient alourdies vers le lac d’où d’autres revenaient avec une nouvelle ardeur.
Et quand, à la fin, elles reprirent le chemin de leurs nids, il ne restait plus une sauterelle dans les champs, et le peuple fut sauvé.

Depuis ce jour, dans la colonie du Lac Salé, on apprend aux enfants à respecter les mouettes. Et lorsque les écoliers commencent à dessiner et à écrire, bien souvent, leur tout premier dessin est l'image d'une mouette.

 


Commentaires

 

1. harfang  le 13-02-2012 à 13:38:28  (site)

ça alors elle est incroyable ton histoire !
ici le temps s'est radouci et la pluie verglassante annoncée n'est toujours pas tombée...
Pour te réchauffer, la bouillotte c'est pas mal du tout. J'ai testé ce WE la sieste avec... un pur régal !
Mille baisers ma belle

2. harfang  le 14-02-2012 à 09:12:47  (site)

les mouettes il y en a partout maintenant, même en haute savoie. Clin doeil

 
 
 
posté le 10-02-2012 à 19:32:10

Conte :il était une fois un paysan

Il était une fois un Paysan

Il était une fois un paysan qui possédait malgré sa pauvreté une petite ferme, un potager et un unique boeuf. Sa ferme très délabrée était faite de vieilles planches de bois qui moisissaient. Elle était constituée de deux pièces. La première était celle où, autrefois, il y avait l'étable qui pouvait accueillir une dizaine de boeufs. Maintenant il n'en reste plus qu'un car les autres, le paysan les avait tous vendus pour quelques sous. La deuxième pièce était celle où le paysan dormait, mangeait et se lavait. Le potager ne donnait pas beaucoup de légumes car la terre n'était pas fertile.

Mais le paysan en vivait en les vendant au bourg voisin. Cette maison était située en plein milieu d'un marécage remplit d'animaux bizarres (On disait que des trolls habitaient dedans) et de trous de vase de six mètres de profondeur ou de sables mouvants qu'on repérait difficilement. Il était lugubre ? surtout la nuit. Le marécage était, en été, asséché et laissait apparaître des algues d'eau douce sèches. Comme c'était l'été, on pouvait voir comment cette ferme flottait sur l'eau. Cette maison et son potager ne flottaient pas, mais étaient aménagés sur un talus de pierres et de terre qui avait été construit par le paysan.

Cette ferme qui ressemblait à une maison retranchée était reliée par un ponton qui aboutissait à un portail grinçant qui faisait office de sonnette. On pouvait voir aussi que les rives du marécage étaient entourées de buissons et d'arbres.

Mais cette maison n'était pas gratuite, il fallait payer beaucoup d'impôts et le paysan se perdait dans ses comptes. Bien que sa ferme soit située sur un terrain peu cher il dépensait presque tout son argent en nourriture. Il ne lui en restait plus pour payer les terres.

Un jour, par un beau temps d'été le roi, accompagné de ses experts comptables et de son escorte, lui rendit visite ; le paysan lui fit part de sa situation financière et de sa pitoyable vie.
- Je vois, je vois.. Mais vous avez oublié quelque chose, comptable, dit le roi.
L'un de ses comptables s'avança vers le paysan et dit :
- En effet vous avez oublié de payer les taxes de nourriture, celles sur le terrain et celles sur le droit de cultiver les terres : ce qui nous donne un total de onze mille écus !!!
- T..t..tant que ça ! ! ! ? S'écria le paysan.
- Oui tant que ça, et même si vous vendez tout ce que vous possédez, mais il reste une dernière chance car j'ai entendu parler d'un objet ou d'un animal qui pourrai vous donner ce que vous désirez... dit le roi d'un ton évasif.
- D'accord j'y cours tout de suite... Mais c'est où ?
- Cela se trouve en plein désert et il faudrait aussi gravir une montagne, mais même le plus insensé des fous ne se risquerait pas à le faire, dit le roi avec un petit rire.
- Eh bien, je suis fou et je vais le faire, dit-il bien déterminé.
- Soit, soit, allez-y mais dépêchez-vous, je commence à m'impatienter.
Sur ce, le paysan décida de partir la nuit même...


 

Le soir approchait et les heures paraissaient des jours entiers. Cependant il s'était préparé : Il avait attelé sa charrette avec son dernier boeuf. Il avait monté dessus une tente triangulaire et rembourrée de paille et d'herbe sèche. Il s'était habillé chaudement et il avait préparé une tenue d'été ( il ne faut pas croire qu'il fait toujours chaud dans un désert). Il avait pris également un tonneau d'eau qu'il avait rempli de morceaux de glaces volés dans la glacière royale. A l'intérieur de la tente il y avait tout ce qu'il fallait : une couchette, une cheminée en terre cuite, quelques vêtements de rechange, plus les livres qui étaient cachés sous la charrette. "Bon, se dit le paysan, à mon avis tout ce bric-à-brac doit suffire."

Enfin il se décida à partir et ouvrit le portail. Après un long moment, il prit un chemin bordé d'arbres puis tout à coup la lanterne s'éteignit. Lorsqu'il la ralluma, à sa grande surprise, il était en plein désert. En vérifiant sur la carte, il vit que le chemin aboutissait directement au désert. Il rangea sa carte, s'allongea sur sa couchette et s'endormi.

l se réveilla quelques heures plus tard, il faisait toujours nuit, et en sortant de la tente pour s'asseoir sur le banc du conducteur, il vit une silhouette à quelques mètres de la charrette. Le paysan l'arrêta, puis avança la lanterne pour mieux voir. Deux yeux reflétaient la lumière de la lanterne. Ils s'avancèrent et le paysan s'écria :
- Ha... Un chat ici ?
- Oui un chat mais pas n'importe lequel : je suis Zic-Zac, dit le chat.
- Connaît pas, drôle de nom, mais en tout cas, je suis content d'avoir un invité qui parle. Je suis un peu seul. Puis-je t'inviter pour le repas, tu sembles avoir faim.
- J'allais justement te le demander, cela fais longtemps que je n'ai pas mangé, dit le chat affamé.
- Bon, qu'est-ce que tu veux ? ...

eux-tu que je t'aide dans ta quête ?
- D'accord mais comment ?
Et le chat lui donna une petite clef en or.
- Ton dîner était excellent, et pour te remercier je te la donne : c'est une clef magique, ou si tu préfères, c'est une clef passe partout. Je te donne aussi cette petite boîte (c'était une boîte en forme de pyramide incrustée de pierres précieuses). Elle te transportera là où tu veux à condition que tu sois à l'intérieur du bouclier...
- Et comment fonctionne-t-elle cette boite ?
Le chat ? Le chat ? Mais le chat était déjà sorti de la charrette et salua le paysan, puis disparu dans la nuit sombre.

Le paysan se coucha... Puis, après quelques heures de sommeil, à l'aube le paysan vit une autre charrette mieux équipée que la sienne. "Cela doit être un chevalier du roi qui a du être envoyé pour rapporter l'animal, j'aurais du m'en douter." Pensa le paysan. L'aube se levait et tout à coup, le paysan entendit un petit sifflement et vit un carreau d'arbalète planté dans le sable.
- Mais il est fou ! Il me tire dessus ! S'exclama le paysan. Puis un autre carreau s'abattit sur sa tente. Il se dit qu'il avait bien fait de rembourser sa tente.

C'était l'heure de déjeuner, alors le paysan décida de manger puisque dans sa tente il ne craignait rien. Mais avant de s'y engouffrer, il vit que la charrette de l'autre, qui continuait à avancer, était en flamme, et que son cheval avait disparu. Le garde du roi avait brûlé dans la charrette ! Il se souvint alors de ce que le chat lui avait dit : "La boite te transportera là où tu veux à condition que tu sois à l'intérieur du bouclier..."

En se rappelant de ce que le chat lui avait dit, il arrêta la charrette et descendit sur le sable. Il faisait un soleil de plomb et en essuyant les perles qui ruisselaient sur son front, il prit une poignée de sable brûlant qu'il jeta sur le bouclier invisible qui devait se trouver sans doute devant lui... Et le sable s'enflamma ! Tout devint clair pour le paysan :

Le bouclier dont avait parlé le chat était un bouclier invisible qui protégeait la montagne de verre et ses alentours où se trouvait cet animal merveilleux, et qui ne laissait passer que les animaux. Aussi, le chat lui avait donné une petite clef en or qui devait sans doute ouvrir une porte sur le bouclier... Mais où était la serrure ??? Le paysan se dit alors qu'il suffisait d'en faire le tour pour la voir.

Il fit le tour mais il ne vit pas de porte, juste la montagne de verre sous tous ses angles. Le soleil était au plus haut et reflétait sur la montagne ce qui éblouissait le paysan

Comme il ne voyait pas la porte, il arrêta la charrette et se dit qu'en fait, il n'y avait qu'à mettre la clef dans le bouclier. Le paysan le fit et il entendit un bruit sourd indescriptible. Puis, pour s'assurer qu'il avait bien ouvert une porte, il lança une grosse poignée de sable qui ne s'enflamma pas. Il remonta donc dans sa charrette et remit le boeuf en marche. Tout à coup, le paysage se changea en une belle prairie d'herbe fraîche avec un lac rempli d'animaux qui barbotaient dedans. Il vit aussi une forêt d'où sortaient des animaux. Tous ces animaux avaient l'air très heureux ici, et le climat était frais. Il vit au centre de la prairie la montagne de verre qui semblait surgir du sol ; au sommet trônait un jardin rempli d'arbres et de fleurs.

Le paysan se dit qu'alors le bouclier donnait aussi une fausse image du paysage lorsqu'on était hors du bouclier. Il entendit un bruit sourd comme si la porte s'était refermée.
- Mais comment vais-je faire pour aller là-bas, au pied de la montagne ?
En effet, la montagne était sur un îlot entouré d'eau. Puis il pensa à la boite, il la prit et essaya de l'ouvrir : Il réussit à l'entrebâiller
mais " OUAIIEEE ! ! ! " Il se pinça le pouce car la boite se referma sur son pouce. En poussant ce cri, il fit partir tous les oiseaux qui s'abreuvaient dans le lac et les autres animaux courraient dans tous les sens puis se cachaient dans la forêt. Puis il entendit une voix rauque qui semblait provenir de derrière la charrette :
- Idiot, tu as fait raté mon coup, à cause de toi je n'aurais pas mon festin ! ! !

Le paysan sortit de la charrette et vit un chien tout noir au ventre recouvert de poil rouge orangé qui était fou de rage et qui montrait ses dents. Ses yeux rouges, ardents semblaient transpercer le paysan qui eut un frisson qui parcourut sa colonne vertébrale.
- Qui... qui êtes vous ?
- Je suis Méchantchien la terreur des animaux ? Et si tu te moques de mon nom, je te dévore. Mais je crois que tu as fais fuir les animaux, c'est toi que je vais dévorer !
- Ah..ah ne me touche p..pas, dit le paysan d'un ton fébrile.
Et en un instant le chien lui mordit profondément le bras mais " KCHISSS ! ! ! "
- Kaïïïïï !?! C'était le chat qui était intervenu avant que le Méchant chien ne dévore le paysan.
- Ah... j... je meurs, dit le paysan tout frissonnant.
- Mais non, mais non, tu ne meurs pas, ce n'est qu'une petite blessure, je vais arranger ça, dit une voix familière.
- C'est toi le chat ? On dirait que tu as fait une belle frousse à ce chien. Il est parti en courant la queue entre les pattes, dit le paysan.
Il vit le chat apparaître avec un flacon dans sa gueule et en versa un peu sur sa blessure. Le paysan vit sa blessure disparaître...
- Qu'est-ce que c'est ?
C'est juste de l'eau du lac où s'abreuvent les oiseaux " dit le chat en lui faisant signe de prendre un objet, une dague, qu'il poussa avec sa patte.
Le chat lui expliqua aussi qu'elle pouvait faire disparaître Méchantchien...
- Bon, maintenant que tu as la dague, va manger le chien, dit le chat. Et le paysan sauta de la charrette et vit que le chien était à l'affût au bord du lac.
- Toutou... petit chien chien... petit petit, cria le paysan et le chien cria à son tour avec rage :
- Grrrr... encore toi ? Cette fois ci s'en est fini !
Et le chien chargeât le paysan... Le paysan ne savait pas manier les armes, mais les lancer ça oui, alors il le fit et d'un tir très bien assuré... Incroyable se dit le paysan car "PLUC" le chien explosa en de milliers de cendres ardentes.

Le paysan reprit la dague qui avait traversé le chien sans une trace de sang, puis il se retourna vers le chat toujours assis sur la banquette du conducteur et qui avait assisté au spectacle comme sur une estrade pour regarder les théâtres de plein air. Puis le paysan dit

Euh... tu ne me l'as pas dit comment marche ce machin là ... euh... le transporteur.
- Mince c'est vrai, j'ai oublié de te le dire : c'est simple, il suffit de dire l'endroit où tu veux aller, mais juste à l'intérieur du bouclier bien évidemment.
- Merci, je vais essayer cette boite.
Mais lorsqu'il se retourna le chat n'était plus là !
- Impossible d'avoir une discussion avec lui. Mais enfin je vais essayer cette boite.
- Il essaya déjà un endroit assez loin :
- Hum... au bord du lac. Mais une voix couinante sortit de la boite :
- Indiquez un endroit précis !
- Vers les joncs là-bas.
- Avec qui ou quoi ?
- Avec. ( il réfléchit ) - euh... avec mon boeuf, ma charrette et tout ce qu'elle contient enfin.. euh tout ce que je possède.
- Quand ?
- Grrr, mais TOUT DE SUITE ! ! !

Et instantanément la boite s'ouvrit en laissant apparaître une autre pyramide en cristal bleu qui éclata en poussière bleue, ce qui brouilla la vue du paysan , et en se retirant, le paysan vit qu'il était au bord du lac. Mais comme il avait dit " tout ce que je possède ", il était bien avec sa charrette, son boeuf et tout, mais il y avait aussi son talus de pierre, son potager dessus, sa maison aussi, et même son ponton qui faisait office de ponton d'amarrage car il avait les pieds dans l'eau du lac.

Et comme celle-ci était magique le ponton se transforma en un ponton poncé et ciré avec des anneaux. Le talus de pierre se transforma en en une jolie dune de sable bordée de sapin et le jardin se transforma en magnifique jardin avec un coin rempli de fleurs de toutes sortes, avec des allées et des dalles de marbre rose, puis des légumes de toutes sortes et douze arbres fruitiers. Enfin, la maison devint un vrai palace sur plusieurs étages dont une terrasse pour déjeuner et, une cloche de verre qui abritait un jardin avec beaucoup d'outils et de produits (sans doute magiques) pour croiser les végétaux.

Le paysan s'était assis par terre à cause de son bonheur. Il se releva, ouvrit le portail, et entra dans sa maison. Il vit que le rez-de-chaussée était une grande salle avec un plancher tellement bien ciré qu'il faillit tomber. Une grande table était dressée au milieu et débordante de convives.

 Puis un serveur entra et dit :
- Bonjour Monsieur, je suis votre serviteur : cuisinier, masseur, entraîneur, jardinier, ... enfin je fais tout. Puis-je vous faire une visite des lieux.
- Bon...bonjour j... je veux bien visiter.
- Tant mieux sinon vous risqueriez de vous perdre.

Le paysan suivit le serviteur qui monta par un escalier en colimaçon... Et à la fin de la montée, le serveur ouvrit une porte et un vestiaire se présenta derrière la porte. Le guide dit au paysan de se déshabiller et de prendre une serviette et il ouvrit une autre porte qui menait maintenant à des thermes immenses : bains chauds ou froids, plongeoir, et sauna.

Le serviteur lui dit :
- Si Monsieur veut bien prendre un bain.
- Je n'ai pas le temps de faire la visite des lieux, je dois... Mais le serviteur lui coupa la parole.
- Je suis au courant de votre quête. Vos problèmes sont finis, j'ai réglé vos dettes.
- Ah, mais je n'avais pas assez de sous !
- Je sais, c'est pour ça que j'ai demandé à un animal de la faire à votre place.
- Ah ! Oui, il vous attend dans le jardin.
- Il attend dans... le jardin !
Et il descendit dans le jardin et le serviteur laissa le paysan. Le paysan demanda :
- Une dernière chose : où se trouve l'animal et, votre nom, c'est comment ?
- Il est au fond du jardin à coté de la fontaine, je m'appelle Faitou.
- Merci.
Et le paysan alla au fond du jardin et quand il arriva près de la fontaine, le paysan sursauta :
- Ah ! C'est toi Zic-Zac l'animal merveilleux ?
- Oui c'est moi et je préfère que tu m'appelles le chat. Tu te demandes pourquoi je t'ai aidé ? Car dès que j'ai su que tu avais une intention déterminée : payer tes dettes, alors que d'habitude les gens veulent le pouvoir et la richesse. Et qu'en plus tu aimais les chats ! Et les animaux. Dorénavant ce petit paradis t'appartient !
- Merci, dit le paysan en portant le chat, entre ses bras. Tu seras mon animal de compagnie. Je vais demander à Faitou de mettre un couvert de plus et après on jouera à ton jeu favori : les ENIGMES.

Et ils vécurent heureux pendant des milliers années (compte tenu des produits magiques qui rallongent la durée de la vie ).

 


 
 
posté le 07-02-2012 à 21:29:48

Légende de Marseille

LA FONDATION DE MARSEILLE ET LA LEGENDE DE GYPTIS
ET PROTIS

Marseille est née au coeur de Marseilleveyre, tout près du quartier du Roy
d’Espagne actuel !
Marseille, la magnifique, est née un beau jour, certainement ensoleillé,
d’il y a un peu plus de 2.600 ans. Un jour de fête, célébré par un mariage, celui bien
connu de GYPTIS et PROTIS. Deux jeunes gens, liant leurs destins, et par cela même
celui de leurs peuples, les nouveaux venus PHOCEENS et le peuple du roi NANN qui
habitait ces contrées sauvages.



« …Vers l’an 600 av.J.C, des navires grecs venus de la ville de PHOCEE en IONIE
sur la côte ouest de l'Asie Mineure, accostent dans la calanque de l’actuel vieux port.
Les lourdes pentacontéres* au mouillage et à l’abri au fond du futur vieux port, les
chefs de l’expédition SIMOS et PROTIS s’affairèrent alors à l’installation de leur
petite colonie sur le rivage.

La Pentacontère ou Pentécontéres: lourd navire à rame et à voile unique carrée
avec 25 rameurs sur chaque bord. Elle est longue de 27 à 30 mètres et large de
3,50 à 3,80 mètres pour un poids de 40 ou 50 tonnes. Elle avait un équipage
réduit à un officier, un homme de barre, un "quartier-maître" donnant le rythme
de nage, les rameurs grecs étant des engagés volontaires et non des esclaves.
En cas d’éperonnage, le rostre tripointe en bronze bénéficiait de l’effet de masse
de la galère lancée à 5-6 noeuds ( 10 Km/h ).

Conscients de la précarité de leur situation, isolés de leur patrie et peu nombreux,
les grecs en fin stratèges, cherchent alors à nouer des rapports cordiaux avec les
habitants du secteur: Les SEGOBRIGES, une tribu ligure qui peuple les environs.
Le roi NANN , chef des Ségobriges, règne alors sur ce grand territoire.
Les Phocéens lui offrirent leur amitié et, avec l’épisode de la coupe d’eau offerte
par la fille du roi, Gyptis à Protis, les deux jeunes gens se marièrent et les
Phocéens fondèrent Marseille.

Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants … »

 

 


Commentaires

 

1. Houhouhou  le 08-02-2012 à 13:18:05  (site)

pas étonnant que ce soit une si jolie ville !
bisous bisous

 
 
 
posté le 04-02-2012 à 01:19:57

Le Lutin noir et le géant rouge

Le Lutin noir et le Géant rouge

" Texte de Douglas Hyde puis traduit du Gaelique en Français par Georges Dottin"

Dans l’ancien temps, il y a longtemps de cela, il y avait un roi qui demeurait au nord de l’Irlande. Il avait une famille de fils et de filles, mais ils trouvèrent tous la mort, sauf un seul fils et une seule fille. Le fils ne grandit pas d’un pouce depuis qu’il avait atteint l’âge de dix ans, car un forgeron l’avait ensorcelé, et il était couché dans un berceau dans la chambre ou était morte sa mère.
La fille grandit jusqu’à ce qu’elle fut une jolie fille, et le roi tenait autant à elle qu’à l’oeil qu’il avait dans la tête.
Il y avait en Écosse un géant qui s’appelait le Géant Rouge; il entendit parler de la jolie fille du roi ; il vint en Irlande et il l’enleva malgré son père et ses soldats. Il l’emmena en Écosse et la garda pendant onze ans enfermée dans son château, la frappant et la maltraitant.
Le coeur du roi était brisé de douleur. Il promit des milliers de livres à celui qui lui ramènerait sa fille, mais cela ne servait a rien. Le géant ne l’aurait pas donnée pour toutes les richesses du monde.
Le Géant Rouge ne faisait attention ni aux coups des armes de jet, ni aux coups d’épées, pas plus qu’il n’aurait fait attention à un coup de brin de paille, et les gens pensaient que ce n’était pas lui qui portait en soi sa vie, car il avait reçu des coups et des morts par centaines. Il avait été souvent laissé pour mort, mais il était revenu à la vie; de même que le chat à neuf vies, le Géant Rouge avait neuf mille vies.
Un jour, une fois, une vieille vint au château du roi. Elle dit qu’elle avait à raconter au roi une histoire qui lui mettrait la joie dans le coeur, et qu’elle ne pourrait raconter cette histoire à personne qu’au roi lui-même. On la conduisit à la chambre du roi et quand le serviteur fut parti, elle ferma la porte a clef.

- Pardonne-moi, ô roi, dit-elle ; je ne puis faire ma commission qu’à toi-même. Je viens de chez ta fille ; elle est persécutée chez le Géant Rouge, dans son château d’Écosse. Il n’y a qu’un homme vivant qui puisse délivrer ta fille et c’est ton propre fils, le Lutin Noir qui est dans le berceau voilà vingt et un ans. Va maintenant trouver ton forgeron et dis-lui de faire une épée à deux tranchants pour ton fils qui va aller se battre avec le Géant Rouge, en Écosse. Voici pour toi une petite bouteille; il y a un peu de mon sang, et dis au forgeron de verser sur l’épée trois gouttes de sang de la mère de Caoilte quand elle sera à tremper. Quand l’épée sera prête, donne la moi. Conduis-moi maintenant à la chambre de ton fils, il faut que je cause avec lui.

Le roi conduisit la vieille à la chambre du Lutin Noir, l’y laissa et alla à l’atelier du forgeron sans que personne le sût dans le château. Quand il entra en saluant dans l’atelier, le forgeron lui souhaita la bienvenue et dit:

- C’est un grand honneur pour moi que mon roi entre dans ma pauvre forge.

- Commence des maintenant, dit le roi, à faire une épée à deux tranchants pour mon fils qui va aller se battre avec le Géant Rouge en Écosse. C’est lui qui a enlevé ma fille jolie depuis onze ans, et son frère va aller maintenant la délivrer.

- Oh ! roi, dit le forgeron, je ferai une épée aussi bonne que je le puis, mais aucune épée au monde n’a de vertu contre ce géant là, car sa vie n’est pas contenue en lui-même et il ne peut être vaincu que par une seule chose, c’est par une épée trempée avec trois gouttes de sang de la mère de Caoilte et tu n’en trouveras pas dans ton royaume!

- Ce sang est en ma possession, dit le roi, commence, toi, à faire l’épée.

Le forgeron prit de l’acier et quand il fut rouge sur la forge, comme il était à le frapper avec un lourd marteau, il dit au roi:

- Maintenant verse les gouttes dessus.

II fit ainsi et le forgeron continua son oeuvre jusqu’à ce que l’épée fût faite.
Pendant que le roi était avec le forgeron, la vieille causait avec son fils.

- Maintenant, dit-elle au lutin, voilà vingt et un ans que tu es dans le berceau et je pense que voilà le moment pour toi de délivrer ta soeur du Géant Rouge.

- Tu sais que je ne puis faire cela sans ton secours, dit-il, et si tu es disposée à me le donner, je ne serai pas un moment de plus dans le berceau.

- Sautes-en, dit la vieille, que j’opère un changement sur toi, ton père va venir sans délai avec une épée à deux tranchants pour toi et il y a trois gouttes de mon sang dans cette épée et n’aie pas peur devant le Géant Rouge.

Il sauta sur le sol, aussi léger que le lièvre de mars. Sa chevelure était aussi noire que le corbeau et elle balayait la terre. C’était la raison pour laquelle on l’appelait le Lutin Noir. La vieille tira une baguette magique, frappa trois coups sur lui, et en un tour de main il fut haut de plus de six pieds et large en proportion, et habillé comme il seyait à un fils de roi. Quand il regarda dans le miroir qui était accroché au mur, il ne se reconnut pas lui-même et il dit:

- Je ne suis pas le Lutin Noir et je ne sais pas qui je suis.

- Tu es le vrai fils du roi, dit la vieille, et c’est toi qui es désigné pour combattre le Géant Rouge ; je le savais avant que tu ne sois né, et je serai présente le jour du combat.

Le roi revint avec l’épée terminée et quand il ouvrit la porte de la chambre de son fils et quand il vit le bel homme grand en compagnie de la vieille, il eut un grand étonnement.

- Ou est mon fils, le Lutin Noir ? dit-il.

- Il est debout devant toi, dit la vieille, n’a-t-il pas revêtu une belle forme depuis que tu es parti?

- Je ne crois pas que ce soit mon fils qui est là, dit le roi.

- Tu peux en être sur, dit le fils, j’étais force d’être lutin jusqu’à ce que j’aie vingt et un ans, et maintenant j’ai en moi la force de cent hommes et je vaincrai le Géant Rouge aussitôt que j’irai combattre avec lui.

- Qu’il y ait un vaisseau prêt pour lui sous trois jours, dit la vieille, mais il faudra être rusé et que nous gardions le secret. Conduis ton fils cette nuit à la porte qui est derrière le château, aussitôt que tombera la nuit, fais le tour du château jusqu’à la grande porte et frappes-y un coup et dis aux serviteurs que c’est là ton fils qui revient d’Espagne. En même temps, je mettrai dans le berceau un Logardan pareil au Lutin Noir. II sera mort ; tu peux dire qu’il est mort subitement et ainsi les gens n’auront aucun doute au sujet de l’histoire.

- Sur ma parole, je ferai comme tu dis, dit le roi, car je vois que tu es une bonne amie; y a-t-il quelque chose que je puisse faire pour toi?

- Non, sinon de suivre mon conseil, dit la vielle, et je serai prête sur le bord de la mer pour aller avec vous en Écosse.

La vieille partit alors, sans que personne dans le château le sût, sauf le roi et son fils.
Cette nuit-là, lorsque la nuit fut tombée, le roi conduisit son fils par une porte de derrière et le ramena à la grande porte. Il frappa vite et quand le portier ouvrit, il dit:

- Voici mon fils aîné qui revient d’Espagne.

Le portier lui souhaita la bienvenue, et l’histoire ne tarda pas à être dans la bouche de tous les gens du château. Le roi conduisit son fils à une belle chambre mais il ne fut pas long à revenir dire que le pauvre lutin était mort dans son berceau. Il n’y eut pas beaucoup de chagrin à son sujet mais on l’enterra convenablement.
Deux jours après, le roi se procura un navire et des matelots et il fit proclamer que son fils qui était arrivé d’Espagne allait aller en Écosse pour se battre avec le Géant Rouge, et qu’il serait content qu’une troupe de gentilshommes fût avec lui. Quand le navire fut prêt, une grande troupe vint pour se rendre en Écosse avec le roi. Quand ils furent à bord du navire, le roi vit venir la vieille sur le rivage, habillée d’un habit vert.

- O grand roi, dit-elle, permettras-tu à une vieille femme de venir avec toi?

- Viens à bord, dit le roi.

Elle vint à bord alors, ils levèrent les voiles et ils se dirigèrent vers l’Écosse. Quand ils furent arrivés au port, ils laissèrent le navire aux matelots et ils se rendirent au château du Géant Rouge.
II y avait un grand mur solide autour du château et il n’avait qu’une seule porte. Le Géant regardait à une fenêtre et quand il vit la grande troupe à la porte il demanda d’une voix effrayante:

- Qui êtes-vous ou que voulez-vous?

Le roi prit la parole et dit:

- Je suis le roi d’Irlande et je demande ma fille jolie, et si tu ne me la rends pas, voici mon fils qui la délivrera par son épée.

Le Géant sortit, avec une épée à la main. Le fils du roi tira son épée à deux tranchants et ils s’attaquèrent l’un l’autre. Ils combattirent pendant trois heures sans se couper ni se percer l’un l’autre. Le géant se mit en colère et il dit:

- Tu es l’homme le meilleur qui se soit jamais tenu devant moi, mais il va falloir que je te tue.

Mais le mot n’était pas sorti de sa bouche que le fils du roi lui fendit la tête.

- Ah! ah! dit le Géant, il y a du poison dans ton épée ou bien elle est mélangée du sang de la mère de Caoilte.

La vieille se présenta alors, en frappant dans ses mains, et dit:

- C’est moi la mère de Caoilte et j’en suis fière. Donne-lui un autre coup, fils du roi, et mets fin à la vie du traître, c’est par trahison qu’il a tue mon fils, le vrai héros de Connaught.

Le fils du roi lui coupa la tête alors et Il tomba mort. La vieille tira un couteau noir et détacha le coeur du Géant Rouge et dit:

- Je l’emporterai avec moi en Connaught, en signe de ma victoire, pour les gens.

Le roi et son fils entrèrent dans le château, et emmenèrent la fille jolie du roi. Elle ne pouvait pas parler, par l’excès de joie, jusqu’à ce qu’elle vit la vieille dans son habit vert. Elle courut à elle et elle l’embrassa:

- Oh mon père, c’est la dame qui m’a fait délivrer et qui m’a encouragée et consolée dans mon esclavage. Si elle n’avait pas été, je serais morte depuis longtemps. Elle a donné du sang de son coeur pour moi et je ne sais quelle compensation je lui donnerai.

- Je n’ai besoin d’aucune compensation, dit-elle. J’ai reçu satisfaction pour la mort de mon fils que le Géant Rouge a tue pour trahison, chose qu’il n’aurait pu faire par la force. Je m’en vais maintenant au repos, puisque je sais que le traître est mort.

Le roi et sa compagnie revinrent en Irlande et il fit un festin qui dura sept jours et sept nuits et, il y accueillit riches et pauvres.

Peu de temps après cela, un fils de roi vint d’Espagne et il épousa la fille jolie, et le fils du roi épousa la fille du roi d’Espagne et il y eut dans le château une noce qui dura un mois. J’étais moi-même à passer par-là et j’eus beaucoup à manger et à boire.

 


Commentaires

 

1. harfang  le 06-02-2012 à 09:16:19  (site)

tu as bien eu de la chance de pouvoir assister à pareil festin !!! hihihihi
belle histoire que je ne connaissais pas, comme d'habitude ! halalalala quelle ignare celle-là ! merci merci
bises

 
 
 
 

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