AUX PAYS DES CONTES ET DES LEGENDES

LEGENDES DE TOUT PAYS, LIVRES MES PASSIONS

posté le 07-02-2010 à 09:35:47

Robert le Magnifique (Robert le Diable

Robert le Diable

et Papillon robert le diable

Photos trouvées sur le net

 

 

Robert le Diable ou Robert le Magnifique
(Rouen 1010- Nicée (Asie Mineure) 1035)
Duc de Normandie

Descendant de Rollon, fils du duc Richard II, Robert le Magnifique ou Robert le Diable, né à Rouen en 1010, succéda en 1027 à son frère Richard III (Après le décès, mal élucidé, de ce dernier). Il aida le roi de France Henri Ier dans sa lutte contre les grands vassaux. Il se rendît maître du Vexin français (de Mantes à Pontoise). Il mourut à Nicée, au retour d'un pèlerinage à Jérusalem le 22 juillet 1035, il était âgé seulement de 25 ans. Il laisse le duché à son fils naturel, le futur Guillaume le Conquérant, né de sa concubine Arlette de Falaise.

 

 

 


 
 
posté le 06-02-2010 à 23:26:32

Chateau Robert Le Diable

 

           Chateau Robert le Diable

 

Chateau de Moulineaux


L'histoire du château

 

Le Château de Moulineaux fut édifié vers les XIème XlIème siècles Richard Coeur de Lion y séjourna. Son successeur, Jean sans Terre, 13ème duc de Normandîe en partit en 1204, pour aller assassiner à Rouen son neveu Arthur de Bretagne.

Dans l'entrefaite, le Roi de France, Philippe Auguste entreprenant, la conquête de la Normandie, investit aux Andelys la redoute réputée imprenable, construite dix ans plus tôt par Richard Coeur de Lion.

Jean sans Terre pensant retarder le triomphe de Philippe fit démanteler la petite forteresse de Moulineaux et se réfugia dans son royaume d'Angleterre. C'est ainsi que les Rois d'Angleterre perdirent la Normandie. Ainsi furent séparées Normandie et Angleterre dont en 1066, Guillaume le Bâtard avait fait, avec la bénédiction du Pape, le royaume anglo normand.
Attachant beaucoup de prix au verrou de Moulineaux, Philippe en releva, une première fois le château.

C'est que la petite place forte contrôlait l'entrée de Rouen où le Roi de France édifiait le château dans lequel en 1430 1431 Jeanne d'Arc fut emprisonnée. Château qui fut démoli au XVIe siècle. On possède la liste des capitaines qui gardèrent au nom du Roi de France, le bastion de Moulineaux. En 1418 les Rouennais croyant, à leur tour, à l'im. portance stratégique de Moulineaux en sacrifièrent les tours et les firent sauter. A leur avis, il y avait là de quoi empêcher les Anglais de se fortifier d'ans leur conquête de notre Province. Ils se trompaient car les Anglais demeurèrent à Rouen de 1418 à 1449.

Dès lors, les ruines furent la proie des pillards, des brigands, des réprouvés, des chouettes, des grands ducs, des fantômes. Pendant des siècles personne n'osa plus vivre sur la colline. Les habitants de Moulineaux se signaient en passant dans les parages et ne s'y aventuraient, jamais à la nuit tombée, Les ruines émergeaient de la forêt pour sombrer dans la brume ou dans l'obscurité. On racontait que le soir, les nuages bas transportaient dans leur voyage, la silhouette fantastique des murailles, les stigmates de tous ceux qui avaient péri en s'aventurant dans les ruines.

Au début du XIXe siècle, les romantiques rodèrent à Moulineaux. Des gravures allemandes représentent les ruines s'élançant par dessus les broussailles, les ronces, les muriers sauvages. En 1870, les francs tireurs s'y battirent. Les Prussiens dépensèrent plus d'hommes pour la prise de Moulineaux que pour colle du Havre.

L'histoire moderne du Château Robert le Diable ne commence vraiment qu'en 1903. Le propriétaire de la colline M. Oscar Cosserat fit défricher les vestiges du Château, relevé par Philippe Auguste. Audacieusement, il rêva de restituer au paysage l'ancienne forteresse. Il rebâtit au Nord la tour de Rouen, au Sud celle de Bourgtheroulde, consolida les souterrains. Grâce à lui le Château Robert le Diable ressuscita de ses cendres.

Les Rouennais le dimanche visitaient parfois le Château. Un petit musée dans lequel étaient exposés des souvenirs ramassés lors des fouilles en 1903, avait été aménagé dans la Grande Tour. En quatre années de 1940 à 1944 tout cela disparut, volé, dispersé, anéanti, saccagé.

Dix ans après en 1953, Roger Parment entreprit avec une poignée d'amis de sauver une fois de plus ces ruines séculaires, toujours abandonnées et toujours protégées. Le 12 avril 1954, le Château Robert le Diable était rendu aux Rouennais sur la Colline de Moulineaux. C'est à dire, qu'ils pouvaient enfin visiter les ruines, sans risque de tomber au fond d'un puits de 114 mètres, sans risque d'être précipités du sommet des remparts ou du faîte des Tours. Ils pouvaient en toute quiétude, en se laissant guider à travers les souterrains et les salles aménagées, visiter ce cadre incomparable d'où l'un découvre l'un des plus beaux panoramas de Normandie.

Texte de Roger Parment

 

Photo de  Stéphane

 


 
 
posté le 03-02-2010 à 15:56:11

Livre, Moi Nojoud, 10 ans, divorcée

  Histoire vraie d'une enfant de 10 ans qui a eue le courage d'allée au tribunal pour divorcée

Moi Nojoud, 10 ans, divorcée

Delphine Minoui

Nojoud Ali

Nojoud raconte sa terrible histoire pour que le monde connaisse enfin le sort qui est réservé aux jeunes filles yéménites. Son récit est émouvant, révoltant... essentiel.

 

Nojoud naît au Yémen. Faute d'état civil, sa mère n'est pas sûre de l'année. Elle est peut-être plus jeune d'un an ou deux. En février 2008, son père la marie de force à un homme de vingt ans son aîné. Malgré sa promesse de ne pas la toucher avant sa puberté, il abuse d'elle et la bat. Le 2 avril 2008, Nojoud se réfugie au tribunal pour demander le divorce, qui sera prononcé le 15 avril 2008. Son histoire fait le tour du monde grâce à une mobilisation sans précédent des défenseurs des droits de l'Homme et de journaux locaux. Le 10 novembre 2008, elle reçoit le prix de la Femme de l'année du magazine Glamour à New York. Elle a témoigné de son histoire dans de nombreux pays.


Au tribunal petit résumé du livre

2 avril 2008

J'ai la tête qui tourne. Je n'ai jamais vu autant de monde de toute ma vie. Dans la cour qui mène au bâtiment principal du tribunal, une foule s'agite dans tous les sens. Des hommes en costume cravate, avec des tas de dossiers jaunis coincés sous le bras. D'autres habillés d'une zanna, la longue tunique traditionnelle que l'on porte dans les villages du nord du Yémen. Et puis, toutes ces femmes qui crient et qui pleurent dans un brouhaha inaudible. J'aimerais pouvoir lire sur leurs lèvres ce qu'elles cherchent à dire, mais leurs niqab 1 assortis à leurs longues robes noires ne laissent voir de leurs visages que leurs yeux tout ronds. On dirait des grenades prêtes à exploser. Elles ont l'air furieux, comme si une tornade venait de détruire leur maison. Je tends l'oreille.
De leurs conversations, je n'arrive à saisir que certains mots : « garde d'enfants », « justice », « droits de l'homme »... Je ne sais pas trop ce que cela signifie. Près de moi, un géant aux épaules carrées, un turban plaqué sur les tempes et à la main un sac en plastique rempli de documents, raconte à qui veut bien l'entendre qu'il est venu pour tenter de récupérer les terres qu'on lui a volées. Aïe ! Il a bien failli me rentrer dedans, celui-là, à force de courir comme un lièvre déboussolé.
Quelle pagaille ! Ça me fait penser à la place Al-Qa, celle des ouvriers au chômage, en plein cœur de Sanaa, dont Aba 2 parle souvent. Chacun pour soi, c'est au premier qui décroche un boulot pour la journée, dès les premiers rayons du soleil, juste après l'azan, l'appel à la prière du matin. Ces gens-là ont tellement faim qu'ils ont une pierre à la place du cœur. Pas le temps de s'apitoyer sur le sort des autres. Pourtant, j'aimerais tant que quelqu'un me prenne par la main, qu'un regard attendri se pose sur moi. Qu'on m'écoute, pour une fois ! En fait, c'est comme si j'étais invisible. Personne ne me voit. Je suis trop petite pour eux. Je leur arrive tout juste à la taille. Je n'ai que dix ans, peut-être moins, qui sait ?
Du tribunal, je m'étais fait une image différente, celle d'un endroit calme et propre. La grande maison du Bien contre le Mal, où l'on peut résoudre tous les problèmes de la terre. À la télévision, chez les voisins, j'en avais déjà vu, des tribunaux, avec des juges en robe longue. On dit que ce sont eux qui peuvent aider les gens qui en ont besoin. Il faut que j'en trouve un, pour lui raconter mon histoire. Je suis épuisée. J'ai chaud sous

Très beau livre

 


 
 
posté le 03-02-2010 à 08:38:50

Macoumba

Paroles Chaka Chocolate Macoumba

 

Macoumba


Elle est venue sans bagage,
Quand, échoué d'un naufrage,
Dans les cales d'un cargo,
Elle a quitté son île
Pour un monde nouveau,
Loin des bidonvilles.

Oh Macumba, Macumba,
Elle danse tous les soirs
Pour les dockers du port
Qui ne pensent qu'à boire,

Oh Macumba, Macumba,
Elle danse tous les soirs
Pour des marins largués
Qui cherchent la bagarre,
Oh Macumba.

Pour trouver la force d'attendre,
Elle se vend, dirai de rêve tendre,
Les verres de tequila
Réchauffent sa mémoire
De ses mots d'autrefois,
Brûlant comme l'espoir.

Oh Macumba, Macumba,
Elle danse tous les soirs
Pour les dockers du port
Qui ne pensent qu'à boire,

Oh Macumba, Macumba,
Elle danse tous les soirs
Pour des marins largués
Qui cherchent la bagarre,
Ooh Macumba.

{Instrumental}

Oh Macumba, Macumba,
Elle danse tous les soirs
Pour les dockers du port
Qui ne pensent qu'à boire.

Oh Macumba, Macumba,
Elle danse tous les soirs
Pour des marins largués
Qui cherchent la bagarre.

Oh Macumba, Macumba,
Elle danse tous les soirs
Au rythme des salsas,
Aux accords des guitares.

Oh Macumba, Macumba,
Elle danse tous les soirs
Et elle offre sa nuit contre quelques dollars,
Oh Macumba, Macumba...

Oh Macumba, Macumba...
Oh Macumba, Macumba...

 


 
 
posté le 02-02-2010 à 16:01:17

Mes passions

 

Bonjour, j'ai ouvert ce second blog,pour vous mettre,ce que j'aime.Tel que films, vidéos, bouquins et autre sujets. Merci de vos visites  et commentaires si vous le désirez. En espérant vous avoir pour amis Merci

 

 

 


 
 
 

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