AUX PAYS DES CONTES ET DES LEGENDES

LEGENDES DE TOUT PAYS, LIVRES MES PASSIONS

posté le 28-12-2010 à 13:30:29

L'épée de Jeanne d'arc (Charles Martel)

 épée de Jeanne d’Arc

La découverte miraculeuse de l'épée dite de « Charles Martel » sous l'autel de Sainte-Catherine-de-Fierbois, en est un exemple.



La légende veut que Charles Martel, en 732, après avoir repoussé les Sarrasins des portes de Tours et les avoir battus sur la route de Poitiers, exterminât les dernières troupes dans les bois qui avoisinaient alors Sainte-Maure.
Pour remercier Dieu de cette victoire décisive sur les Maures, Charles-Martel fit construire en ce lieu sauvage appelé Fierbois (ferus bocus) une petite chapelle, dédiée à sainte Catherine d'Alexandrie, patronne des soldats. En ex-voto, il y déposa, derrière l'autel, son épée.



Jeanne d'Arc, (petit résumé) née le 6 janvier 1412 à Domrémy, poussée par ses voix, (saintes Catherine, sainte Marguerite et l'archange saint Michel) se fait conduire par Robert de Baudricourt auprès du dauphin (futur Charles VII).
Elle part de Vaucouleur le 23 février escortée de 6 hommes, et arrive le 4 mars 1429 à Sainte-Catherine-de-Fierbois, Jeanne portant alors des habits masculins. Elle est hébergée dans l'aumônerie construite par Boucicaut et fait rédiger une lettre au dauphin qu'elle fait porter par deux hommes de son escorte et alla prier devant la statue de sainte Catherine qui trônait dans la chapelle dédiée à son nom. Le lendemain elle assiste à trois messes dans cette même chapelle. Ayant reçu réponse à son courrier, elle se met en route pour Chinon le 6 mars.

Une fois reconnue auprès du futur Roi comme l’envoyée du Seigneur, elle se rend à Tours pour y récupérer l'armure confectionnée pour elle
, et quand on lui propose une épée, elle la refuse prétextant que "ses voix" lui avaient révélé l'existence d'une autre, enterrée derrière l'autel de la chapelle de Sainte-Catherine-de-Fierbois et reconnaissable à cinq croix gravées sur la lame (l'épée de Charles Martel).

Voici ce que l'on peut lire à ce propos dans les minutes de son procès :



«  …Tandis que j'étais à Tours, j'envoyai chercher une épée qui se trouvait dans l'église Sainte-Catherine-de-Fierbois derrière l'autel.

- Comment saviez-vous que cette épée fût là ?

- Cette épée était en terre, toute rouillée et la garde était ornée de cinq croix. Je sus qu'elle se trouvait là par mes voix, et l'homme qui l'alla chercher ne l'avait jamais vue. J'écrivis aux ecclésiastiques dudit lieu qu'ils voulussent bien m'envoyer cette épée, et ils me l’envoyèrent. Elle n'était pas trop enfoncée en terre, derrière l'autel comme il me semble. Aussitôt après que l'épée eut été trouvée, les ecclésiastiques dudit lieu la frottèrent, et aussitôt la rouille tomba sans difficulté.

Ce fut l'armurier de Tours qui l'alla chercher. Les prêtres de Fierbois me firent don d'un fourreau, et les habitants de Tours d'un autre. On fit donc faire deux fourreaux, l'un de velours vermeil, et l'autre de drap d'or. Et moi j'en fis faire un troisième de cuir solide… »
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Vers la fin de sa mission, Jeanne d'Arc la brisa en tapant du plat de l'épée sur une prostituée qui traînait dans ses troupes à Saint Denis.



Ou se trouve l’épée de Jeanne d'Arc ?

Jeanne d'Arc est passée deux fois à Lagny-sur-Marne : en septembre 1429 et au printemps 1430. Lors de ce second passage, Jeanne accomplit un miracle, sur lequel s' appuieront les autorités catholiques pour sa canonisation : elle ressuscite un enfant mort depuis 3 jours, pour lui permettre de recevoir le sacrement du baptême.

À son départ, Jeanne laisse 6 épées. dont celle qui a appartenu à Charles Martel. Cette « épée sainte » fut cachée par un prêtre de l'abbaye. Elle se trouverait toujours à Lagny, soit dans un souterrain situé sous l'église, soit murée dans un pilier de la chapelle...

Lors de son procès à Rouen, on lui demanda où se trouvait son épée, elle  répondit :

"Passez outre"

 

Le mercredi 23 février 1429, à Vaucouleurs, le cortège fut prêt vers trois heures de l’après-midi. Jeanne était à cheval, entourée de son escorte composée de quatre lorrains : Jean de Metz, chef de l’expédition, Bertrand de Poulangy et leurs valets, Julien et Jean, puis Collet de Vienne, envoyé de Chinon par le Dauphin et son archer Richard. Agé de vingt-huit ans, rude soldat ayant conquis son grade et sa noblesse dans les récents combats, Jean de Metz avait joyeusement accepté d’escorter cette fille jusqu’à Chinon, à travers un territoire rempli d’ennemis.

S’ils passèrent la première nuit à l’abbaye de Saint-Urbain où ils étaient attendus, ils se firent héberger, les jours suivants, dans des fermes isolées, par des paysans qui n’osèrent pas refuser leur grange. Le voyage dura onze jours. Après avoir traversé l Aube et la Seine, ils arrivèrent à Auxerre, où Jeanne entendit la messe dans 1a cathédrale, franchirent la Loire à Gien, s'enfoncèrent dans les forêts de Sologne puis, après avoir passé le Cher et l’Indre, se trouvèrent enfin, le 5 mars, devant un petit village, nommé Sainte-Catherine-de-Fierbois, où Jean de Metz fit halte tandis que Collet de Vienne et son archer allaient prévenir le Dauphin du succès de l’expedition. A Sainte-Catherine-de-Fierbois était un pèlerinage. Quelques malades y faisaient des neuvaines et deux prêtres en assuraient la garde. Ce matin-là, Jeanne entendit trois messes de suite tandis que les quatre compagnons qui lui restaient se tenaient auprès des chevaux.

Après les offices, elle demeura longtemps dans la chapelle regardant alternativement les murs, l’autel et les statues, comme si elle avait voulu découvrir quelque chose. Il y avait des béquilles suspendues en ex-voto, des médailles, des inscriptions et des fleurs. L'odeur de l’encens flottait dans l’espace étroit.

Collet de Vienne revint dans l'après-midi. Le Dauphin donnait ordre de mener immédiatement la jeune fille à Chinon où elle logerait chez une femme désignée par lui. Tandis qu’à leur tour Jean de Metz et Bertrand de Poulangy étaient convoqués auprès de Charles pour rendre compte du voyage, Jeanne demeura trois jours chez son hôtesse, évitant de sortir et de répondre aux questions du voisinage.

On sait comment, le 9 mars, elle reconnut le Dauphin puis comment, quelques jours plus tard, elle répondit victorieusement à toutes les questions des examinateurs ecclésiastiques de Poitiers. Le 26 mars, Jeanne rentrait à Chinon, en compagnie du Dauphin qui était venu la chercher à Châtellerault. Maintenant, il s’agissait d’aller à Tours où étaient rassembléz les renforts pour Orléans, les armes et les approvisionements. Cependant, avant de partir, il fallait équiper Jeanne. Lorsque son armure fut prête, on s’inquiéta de l’épée : voulait-elle la garde en forme de croix ou préférait-elle un dessin particulier qui rappelât sa mission ? Jeanne répondit : « Allez à Sainte-Catherine-de-Fierbois, dans la chapelle du pèlerinage. Vous creuserez derrière l’autel, vous enlèverez une dalle, des pierres, et à peu de profondeur, vous trouverez l’épée qu’il me faut. » Ainsi fut fait, et l’on trouva une grande épée antique à la garde marquée de cinq petites croix.

Des traditions affirment que cette épée était celle de Charles Martel qui, après la bataille de Poitiers, l’aurait offerte aux prêtres du sanctuaire de Sainte-Catherine-de-Fierbois. Vers 1375, la chapelle oubliée, envahie par les ronces, n'était plus qu’une ruine. Un paralytique des environs, Godefroy, eut cependant l'idée de s'y faire porter et d’y réciter une prière quotidienne. Il fut guéri. Le bruit de ce miracle se répandit. Des prêtres de Tours accourus sur les lieux organisèrent un pèlerinage local. Au temps de Jeanne d’Arc, la vogue de Sainte-Catherine-de-Fierbois était déjà sur son déclin et l’épée de Charles Martel était oubliée.


 
 


 
 
posté le 20-12-2010 à 14:11:07

Les superstitions de Noël


De nombreuses superstitions sont liées au temps de Noël.

Elles expriment la peur du noir, qui engendre des événements terribles.

En même temps, comme pour se rassurer, on accorde à Noël, des pouvoirs de chance.


Les enfants sont bordés dans leur lit depuis des heures, même les plus curieux, ceux qui voulaient voir le Père Noël pour de vrai, se sont assoupis. Et c'est tant mieux car dehors rôdent des esprits bien étranges.

Des croyances venant des fêtes païennes nous révèlent que la nuit de Noël est la nuit de tous les dangers comme de toutes les chances.

Le Père Noël n'a qu'à bien se tenir car il n'est pas le seul à circuler dans le ciel, la nuit du 24 décembre. Ce soir là, sorcières et démons surgissent du néant.

Les fantômes, par contre, redoutent cette date et préfèrent disparaître, mais par précaution, on laisse les portes ouvertes à minuit pour permettre aux mauvais esprits de s'en aller.

Malheur à ceux qui se déplacent et de ce fait n'assistent pas à la messe.
On raconte que plusieurs familles se sont égarées dans la nuit noire du 24 décembre et pourtant le cocher expérimenté connaissait bien la route. Le carrosse ainsi que tous les passagers ont été engloutis dans les marécages. Par la suite leurs fantômes rodaient chaque veille de Noël.

Pour ceux qui assistent à la messe, il vaut mieux rester assis, car si on sort de l'église au moment de la consécration, on voit les morts faire procession dans le village.
En effet des choses très étranges arrivent pendant que sonne minuit : à ce moment les animaux parlent le langage des hommes, les abeilles s'agitent dans leur ruche, les arbres fruitiers se couvrent de fleurs, qui disparaissent aussitôt au 12e coup de minuit.


Trouvez un noisetier, il y pousse un rameau d'or. Si on parvient à le couper entres les 12 coups de minuit, la richesse est assurée à tout jamais. Mais il faut faire attention, car si on a pas le temps de scier la branche, on rejoint les morts.


rant cette période spéciale entres toutes, l'or est partout. Dans les cimetières par exemple. Si on creuse à minuit un trou, on trouvera une fortune en or.

Les menhirs de Carnac en Bretagne se mettent à tourner 3 fois sur eux-mêmes avant d'aller se baigner dans l'océan. Un malin bien renseigné sur les trésors enfouis sous ces pierres attend que l'une de celles-ci se déplace pour descendre dans le trou. Etourdi par le scintillement des pièces d'or, s'il s'attarde trop, le menhir rafraîchi reprend sa place, écrasant l'homme et son trésor.

Un enfant né le jour de Noël est voué à un avenir prometteur. Il sera sauvé de la noyade et de la pendaison. Il jouira toute sa vie de la chance et du bonheur

 

 


Commentaires

 

1. harfang  le 20-12-2010 à 15:16:17  (site)

je suis bien contente que tu sois de retour. Tu m'avais manqué !
Bonne soirée Sourire

2. hellielafeeclochette  le 20-12-2010 à 17:50:48

hé bien il semblerait que je sois vouée à un avenir prometteur alors .... bah j'attend encore !
mdr
j'ai lu la légende de l'Ankou à Kaelig cet après midi, celà faisait longtemps qu'il me la réclamait ...
merci pour ton gentil petit message
très bonnes fêtes de fin d'année à toi et aux tiens

3. hellielafeeclochette  le 24-12-2010 à 07:06:59  (site)

je viens te souhaiter tous mes voeux en cette fin d'année
attention à ne pas travailler après la cloche de ce soir, l'Ankou pourrait être dans le coin avec sa charette qui grince (je crois que c'est ma préférée celle là)
plein de bonnes choses ....

 
 
 
posté le 20-12-2010 à 11:53:13

Enfin de retour parmi vous

                     Bonjour à tous

Me voici enfin revenue parmi vous, j'ai eue quelques petits ennuies. Je vais pouvoir replonger dans ce que j'aime, "Les contes et les légendes" sans oublier les romans  ETC

Je vous souhaite à tous, une très bonne semaine, qui je pense va etre riche en course après la montre pour les derniers achats de noël. Bonne journée

Légende Nordique et Germanique

La légende de Aesir

Aesir: (ou Ase signifiant Dieu) Ce sont des guerriers divins vivant à Asgard. Ils s'opposent aux Vanirs, une race ainée de Dieux bien qu'ils soient parfois assimilés aux Aesirs. On trouve parmi pour les hommes, avec Odin à leur tête, Balder, Bragi, Forsete, Freyr, Heimdall, Holder, Loki, Njord, Thor, Tyr, Vili, Ve et Vidar.
Aegir : (ou Eagor). Dieu germanique de la haute mer, marié à Ran, sa propre soeur, qu'il invite souvent à ses banquets. Ils eurent neuf filles-vagues. Son pére est Fornjotr.
Aegir aurait appartenu à une génération plus ancienne que les Aesirs et même les Vanirs.

Il avait épousé Ran. Ils eurent neuf jolies filles qui apparaissent comme l'écume sur le sommet des vagues. Leurs noms qui signifient tous "vague". Ils habitaient un palais sous-marin d'où le couple dirigeait les vagues tourbillonnantes par l'intermédiaire de leurs filles.

Il est représenté sous la forme d'un trés vieil homme aux cheveux blancs et aux doigts crochus.

Sa longue barbe blanche peut être vue comme de l'écume quand la mer se brise sur les rochers mais l'écume fait aussi penser à la mousse de la bière, c'est pour cela qu'il était aussi appelé "le brasseur".


Son culte était craint des marins car il était connu qu'Aegir déchirait la surface des eaux pour prendre ou détruire les navires, leurs frets et même leurs équipage. Pour s'assurer sa passivité, quelques sacrifices de prisonniers n'étaient pas rares. Il habite un scintillant palais sous-marin d'où ils dirigent les vagues tourbillonnantes par l'intermédiaire de ses filles, les vierges des flots. D'ailleurs la tumultueuse mer du Nord était surnommée "la bouilloire d'Aegir".

Les marins appréhendaient et vénéraient Aegir et lui faisaient des offrandes en or car Aegir pouvait prendre ou détruire les navires, leurs cargaisons et même leurs équipages.

Les Saxons sacrifiaient des animaux et même des esclaves à Aegir en les noyant. Ils croyaient ainsi rendre plus sûre la traversée de la mer. L'océan était aussi appelé le sang d'Ymir à partir de qui furent créés la terre, le ciel et l'océan.

Il est dit qu'un jour, Thor se montra plus malin qu'Aegir en lui ordonnant de brasser de la bière, ce dernier ayant refusé sous le prétexte de manquer de chaudron. Thor récupéra alors le chaudron d'Hymir, Géant de glace. Celui-ci était si large qu'il lui arrivait aux chevilles une fois mis sur ses épaules ! Une fois débarassé du géant à l'aide de son marteau magique, le dieu fut récompensé par l'humiliation d'Aegir, rageant de devoir fournir autant de biére !
Mais une fête organisé par Aegir tourna mal, le malfaisant Loki poignardant le serviteur du dieu de la mer, Fimafeng, tout en insultant les invités...
Remarque : Aegir signifierait « Ondin » et ses autres noms sont Gymir et Hler.
Rq2 : Noms de ses neuf filles : Himinglaeva, Blodughalda, Hefring, Dufa, Udr, Hrönn, Bylgja, Bara, Kolga

 

 


 
 
posté le 24-10-2010 à 12:03:23

Blog en pause pour un temps indéterminé

Je vous souhaite tout d'abord, un bon dimanche

Je met mon blog en pause pour un temps indéterminé. Je m'en excuse et espère que ce ne sera pas trop long

Merci de votre compréhension

 

Goule

La goule, bien que très laide, n'est pas une créature particulièrement dangereuse.

Elle ressemble à une sorte d'ogre crasseux aux dents proéminentes et habite généralement les greniers et les granges de sorciers où elle se nourrit d'araignées et de papillons de nuit.

 

Elle pousse des gémissements et lance parfois des objets un peu partout mais, étant très simple d'esprit, elle se contentera au pire d'émettre quelques grognements inquiétants si quelqu'un croise son chemin.

 

 Il existe au Départements de contrôle et de régulation des créatures magiques une brigade spéciale chargée de débarrasser de leurs goules les maisons rachetées par des Moldus, mais, dans les familles de sorciers, la goule devient un simple sujet de conversation et parfois même un animal de compagnie.


J'espère que mon absence ne sera pas trop longue

Amicalement à tous

Macoumba

 


Commentaires

 

1. hellielafeeclochette  le 24-10-2010 à 10:21:03

ah ben non, hein !!
je venais juste de retoruver ton blog !
mdr
bon ben à très vite j'espère

2. harfang  le 09-11-2010 à 08:58:18  (site)

J'espère aussi ! j'aime bien ton blog et étant particulièrement portée sur la fantasy, j'y ai appris beaucoup de chose et je compte sur toi pour continuer !
à très vite ??? oui, c'est sûr !

 
 
 
posté le 23-10-2010 à 17:01:57

Les origines d'Halloween

 

Halloween se fête le 31 octobre, la veille de la Toussaint . Ses origines sont probablement Celtes et proviendraient de la fête de Samain qui symbolisait tout à la fois la fin de l’été et la fin de l’année.

 

LES ORIGINES D’HALLOWEEN

 

La légende raconte que pendant la nuit de Samain, les esprits des morts revenaient parmi les vivants et que ceux-ci, pour les effrayer se déguisaient de costumes grotesques et de masques. Les pratiques d’halloween ont été importées aux États -Unis et au Canada par les Irlandais qui y immigrèrent dés 1847, imités par les Écossais, les Gallois et les Anglais.

 

HALLOWEEN AUJOURD’UI.

Halloween est surtout fêté par les enfants, qui adorent se déguiser et frémir à cette occasion.

Les costumes les plus traditionnels sont ceux de sorcières et de fantômes , mais tout est permis. Une fois qu’ils sont méconnaissables les enfants partent en bande faire le tour des maisons. A chaque arrêt chez un voisin, ils demandent  « Trick or treat! ». Ce qui veut dire :un sort ou un bonbon;!Les gens leur donnent alors des friandises qu’ils mettent dans des petits paniers décorés pour ce jour là.

Aussi bien dehors que dedans, la maison est décorée de citrouilles creusées et éclairées de toutes sortes d’accessoires effrayants : toiles d’araignées, squelettes, crânes, lumières tamisées … et puis bien sur on joue.

 

Mais qui est donc Jack D’Lantern???

D’origine Irlandaise ce personnage est l’une des figures les plus populaires d’halloween. On raconte que Jack était trop avare pour mérité le paradis et qu’il a même été chassé de l’enfer, pour avoir joué un tour au diable! Depuis il erre sur terre avec sa lanterne….En son souvenir, les Irlandais creusaient et sculptaient des tètes affreuses dans de gros navets ou des pommes de terre à l’intérieur desquels ils plaçaient des petites bougies. Maintenant ces légumes sont remplacés par des citrouilles.

 

 

 

 

 

 


 
 
 

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